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| Clifton South Africa |
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| Lanika beach Hawaii |
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| Jeeva beloam beach camp Indonesia |
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| Ngarunui bach New Zealand |
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| Nikki beach Marbella Spain |
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| Rhossili Bay Whales |
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| Anse Lazio Seichelles |
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| Turquoise Bay Australia |
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| Walvis Bay Namibia |
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| Baia do Sancho Brazil |
The 10 best beaches in the world
Luxury swimwear company Bikini Luxe breaks into hot summer fashion scene
South Florida native Candice Galek grew up shopping in the hot sunshine hoping to one day have a boutique of her own. Now she has created a Miami Beach-based swimwear and accessory store featuring top selling brands Montce Swim, Eberjey, Peixoto and Tai Jewelry, some of which have been featured in high-profile magazines and are trending in the fashion world.
Sports Illustrated recently featured actress Kate Upton in a hot pink Peixoto swimsuit in its 50th Anniversary Issue. The Flamingo one piece has gained fame by being seen on multiple magazine covers this year, including Kholé Kardashian wearing a black version of it on the cover of Cosmopolitan’s April 2014 issue. Bikini Luxe offers it in two colors, hot pink and black.
The Peixoto collection is designed by Colombian-born Mauricio Esquenazi. His string bikinis are in an array of cutouts that give you multiple options on how to tie and style your suit and how to have it sit low on your hips. Bikini Luxe says Esquenazi is kind, helpful and knows how to dress a woman.
Montce Swim by Alexandra Grief is another brand Bikini Luxe offers. It is one of the shop’s favorites because they say every piece fits and flatters perfectly. According to Bikini Luxe, “Long story short we love the designer, and the brand, because they are both amazing and full of surprises.”
Eberjey Swim by Ali and Mariela has also been featured on magazine covers. The Eberjey brand was founded in 1996 to create pretty “under things” for real, confident women that did not sacrifice comfort. It started as a lingerie company and was known for its form-fitting boy short underwear flying off the shelves, but eventually expanded to lounge wear and swimwear.
But Bikini Luxe also goes beyond the bikini.
Also popular on www.bikiniluxe.com is an accessory collection by Tai Jewelry. It features bracelets, earrings and necklaces in silver, gold or rose-gold ornamented with cupcakes, skulls, anchors, arrows, horseshoes and more. These pieces range from $18-$79.
Most swimwear on Bikini Luxe ranges in price from $60-$85 per piece in a variety of colors. One-piece suits like the popular Peixoto mentioned earlier go for $99.
The online shop offers bathing suit cover ups and an Eberjey Gisele Tunic lounge wear piece as well as a few of their own limited edition Bikiniluxe Swimwear pieces. The shop also sells Circle 21 soy candles made from premium soy wax out of locally found wine bottles. They currently sell six different fragrances.
Les Français champions d'Europe du maillot de bain
les Français sont les plus gros consommateurs de maillots de bain en Europe. Avec un budget de 27 euros en moyenne, nous dépensons plus pour ce produit que les Italiens, les Allemands, les Espagnols et les Anglais. On les renouvelle en moyenne tous les deux ans et sept mois. Le marché a bondi de 36% l'an dernier, pour atteindre 492 millions d'euros.
Le retour du maillot une pièce
Cette année, le maillot une pièce - longtemps délaissé - sera la star de la plage. Les créateurs revisitent le monokini. Il peut être très sexy, avec un joli décolleté ou un spectaculaire effet dos nu. Certains maillots une pièce ont aussi une grande échancrure, style année 80, pour dégager les fesses. Sans oublier l'effet gainant, qui va gommer les petits bourrelets disgracieux.
Les maillots deux pièces, eux, sont très rétro, avec la culotte qui monte assez haut ou des petits pois, mais toujours gainant pour un effet ventre plat. Quant aux nouveaux bandeaux, ils ont un joli maintien, pour ne plus aplatir la poitrine.
Les hommes devront ranger le caleçon pour se tourner vers le shorty moulant en licra, coloré ou imprimé. Cela nous vient tout droit du Brésil.
Mode en Ille-et-Vilaine. Les maillots de bain de luxe conçus dans le Coglais
La société Confection du Coglais, en Ille-et-Vilaine, est le premier façonnier de maillots de bains Eres. Depuis deux ans, elle compte aussi avec le Slip français. Et bientôt, avec Hermès.
C’est un atelier familial perdu au nord de l’Ille-et-Vilaine, à la Selle-en-Coglès (600 habitants). Son nom ? Confection du Coglais. Son patron ? Un jeune homme de 25 ans, Matthieu Coquelin. À la tête d’une entreprise de 46 salariés, il a engrangé, en 2013, un chiffre d’affaires de plus d’1,4 million d’euros.
L’entreprise de confection de maillots de bains pour femmes, qui produit aussi pour le Slip français (slips en lycras et maillots de bains) et Hamac (couches lavables nouvelle génération), est le premier façonnier maillots de bain de la marque Eres au monde.
Le lycra, matière phare
Si l’entreprise affiche un visage radieux, elle se relève tout juste d’une crise majeure, à laquelle André Coquelin, son fondateur, décédé en 2012, avait heureusement préparé son fils, en laissant une entreprise aux reins solides : « 2010, 2011, 2012 ont été trois années de consolidation de l’activité. 2009 a été difficile : nous avons connu le chômage technique, après la baisse de commandes de plusieurs clients ».
Mais à quelque chose près malheur est bon. Car, dans cette période d’incertitudes, le patron a fait le choix de se diversifier. Des diverses collaborations alors engagées, ont émergé, sur le long terme, deux gros clients : le Slip français et les couches lavables Hamac.
Quel rapport entre ces grands noms de la mode (Eres, précédemment Louis Vuitton…) et ces nouveaux marchés ? Réponse : le lycra, la matière phare de Confection du Coglais.
Slip français
Pour le Slip français, il a été associé à l’utilisation d’une « vieille machine que nous avons retravaillée pour produire les trois bandes bleues, blanches et rouges, caractéristiques. » Le nombre de pièces réalisées pour la marque a été multiplié par quatre en deux ans, passant de 500 à plus de 2 000 aujourd’hui. Le Slip français compte aujourd’hui pour 15 % dans le chiffre d’affaires de l’entreprise.
Quant aux couches lavables Hamac, un « concept novateur », elles sont « esthétiques, écologiques et économiques » et surtout, elles sèchent très vite.
Si Matthieu Coquelin a accepté de s’engager sur ces deux nouveaux marchés, c’est aussi grâce au credo de son père : « Respecter l’humain et fonctionner au feeling », poursuit le jeune patron, qui travaille actuellement avec huit clients. « Pas besoin de plus, nous privilégions l’assimilation de ceux avec lesquels nous travaillons, avant d’en chercher d’autres ».
Visite des ateliers
Une fois ces perles rares trouvées, elles sont choyées : régulièrement, des visites des ateliers sont organisées pour les clients.
Un rendez-vous dont les grands noms du luxe sont friands. Hermès devrait bientôt rejoindre leurs rangs : « Il s’agit d’une toute jeune collaboration. Les maillots ne sont pas encore en production. Mais la société est d’accord pour lancer un produit avec nous. »
Reste que le succès n’empêche pas les questionnements : dans cette phase de croissance, pour répondre à davantage de demandes de clients, l’entreprise est tentée d’augmenter le nombre de ses employés. Or, son effectif vient de se stabiliser en dessous des 50 et franchir ce cap serait coûteux.
La décision sera prise d’ici à la fin de l’année. À ce moment-là, 120 000 pièces devraient être sorties des machines à coudre et les nouveaux maillots de bain, pour Hermès, commercialisés.
L’entreprise de confection de maillots de bains pour femmes, qui produit aussi pour le Slip français (slips en lycras et maillots de bains) et Hamac (couches lavables nouvelle génération), est le premier façonnier maillots de bain de la marque Eres au monde.
Le lycra, matière phare
Si l’entreprise affiche un visage radieux, elle se relève tout juste d’une crise majeure, à laquelle André Coquelin, son fondateur, décédé en 2012, avait heureusement préparé son fils, en laissant une entreprise aux reins solides : « 2010, 2011, 2012 ont été trois années de consolidation de l’activité. 2009 a été difficile : nous avons connu le chômage technique, après la baisse de commandes de plusieurs clients ».
Mais à quelque chose près malheur est bon. Car, dans cette période d’incertitudes, le patron a fait le choix de se diversifier. Des diverses collaborations alors engagées, ont émergé, sur le long terme, deux gros clients : le Slip français et les couches lavables Hamac.
Quel rapport entre ces grands noms de la mode (Eres, précédemment Louis Vuitton…) et ces nouveaux marchés ? Réponse : le lycra, la matière phare de Confection du Coglais.
Slip français
Pour le Slip français, il a été associé à l’utilisation d’une « vieille machine que nous avons retravaillée pour produire les trois bandes bleues, blanches et rouges, caractéristiques. » Le nombre de pièces réalisées pour la marque a été multiplié par quatre en deux ans, passant de 500 à plus de 2 000 aujourd’hui. Le Slip français compte aujourd’hui pour 15 % dans le chiffre d’affaires de l’entreprise.
Quant aux couches lavables Hamac, un « concept novateur », elles sont « esthétiques, écologiques et économiques » et surtout, elles sèchent très vite.
Si Matthieu Coquelin a accepté de s’engager sur ces deux nouveaux marchés, c’est aussi grâce au credo de son père : « Respecter l’humain et fonctionner au feeling », poursuit le jeune patron, qui travaille actuellement avec huit clients. « Pas besoin de plus, nous privilégions l’assimilation de ceux avec lesquels nous travaillons, avant d’en chercher d’autres ».
Visite des ateliers
Une fois ces perles rares trouvées, elles sont choyées : régulièrement, des visites des ateliers sont organisées pour les clients.
Un rendez-vous dont les grands noms du luxe sont friands. Hermès devrait bientôt rejoindre leurs rangs : « Il s’agit d’une toute jeune collaboration. Les maillots ne sont pas encore en production. Mais la société est d’accord pour lancer un produit avec nous. »
Reste que le succès n’empêche pas les questionnements : dans cette phase de croissance, pour répondre à davantage de demandes de clients, l’entreprise est tentée d’augmenter le nombre de ses employés. Or, son effectif vient de se stabiliser en dessous des 50 et franchir ce cap serait coûteux.
La décision sera prise d’ici à la fin de l’année. À ce moment-là, 120 000 pièces devraient être sorties des machines à coudre et les nouveaux maillots de bain, pour Hermès, commercialisés.
FRANCHISE PRÊT-À-PORTER : DOSSIER SPÉCIAL MAILLOT DE BAIN
A l’heure où la saison du maillot de bain bat son plein, la rédaction toute la franchise plonge dans l’univers du costume de bain. Créer sa franchise dans le prêt-à-porter spécialisé en maillots de bain offre de belles perspectives, encore faut-il comprendre le marché et les attentes d’une clientèle féminine motivée !
Le maillot de bain, une pièce maîtresse du prêt- à-porter
Ses dernières années, le prêt-à-porter a été très impacté par la crise économique et la diminution du pouvoir d’achat, ce partout en Europe. Si beaucoup d’enseignes sont touchées par ses difficultés, les spécialistes du maillot de bain s’en sortent plutôt bien ! Focus sur un marché particulier qui se maintient voire progresse malgré le contexte morose.
Le commerce du maillot de bain en quelques chiffres
En 2013 en France, malgré la crise, la vente du maillot de bain progresse légèrement de 2 à 3%. Alors que jusqu’en 2011, le maillot était très impacté par la saison et la météo, il semble atténuer ce phénomène. Pourquoi ? Surtout parce que la natation est l’un des sports les plus pratiqués par les Français, notamment grâce aux bons résultats des athlètes de la discipline. Aussi les équipements très performants et techniques ne cessent d’évoluer.
Les femmes sont de loin les plus grandes consommatrices de maillots de bain avec un achat environ tous les deux ans. La somme moyenne dépensée pour un maillot varie entre 80 et 130 euros en fonction de l’âge de la consommatrice. Les hommes achètent moins souvent un maillot (tous les 5 ans en moyenne), et ne dépensent qu’autour de 25 euros pour cet achat.
Les particularités du commerce du maillot de bain
C’est certain, les personnes qui ont la chance de pouvoir porter un maillot tout au long de l’année ne sont pas les plus nombreux… en tout cas, pas en France ! Qu’on le veuille ou non, le maillot, même si c’est moins flagrant qu’il y a quelques années, c’est un produit qui reste saisonnier. En général, le gros des ventes s’effectuent entre juin et septembre. En France, si vous souhaitez par exemple devenir franchisé d’une boutique de maillots de bain, votre activité sera intéressante dès le printemps (presque 45% des ventes). Toutefois, en Europe, 50% des ventes se concentrent uniquement sur le troisième trimestre.
Les motivations des clients pour l’achat d’un maillot de bain
On l’a vu, les femmes investissent plus et plus souvent dans l’achat d’un maillot de bain. Elles sont les clientes reines de ce produit. Si vous ouvrez une entreprise de prêt-à-porter ou si vous devenez franchisé d’une marque établie, votre cible première sera la femme. Sauf bien-sûr si vos produits s’adressent uniquement aux hommes ou aux enfants ! La femme qui domine le marché est la cliente à bichonner et à séduire.
Mais qu’est-ce qui pousse les femmes à acheter un maillot de bain ? Ce vêtement n’est pas indispensable toute l’année, à moins de pratiquer la natation. Avant tout, il est associé à l’été, à la plage au soleil et au farniente ! Un achat plaisir qui accompagne la promesse de beaux moments.
Pourquoi une femme craque pour un maillot de bain plutôt qu’un autre ?
Le coup de cœur qui est lié à l’achat plaisir. Le prix compte mais il ne sera pas le critère prioritaire.
La séduction est un élément fondamental pour un maillot de bain. Les célibataires cherchent à séduire, les femmes en couple à charmer leur compagnon etc.
La recherche de bien-être n’est pas absente. Oui, les femmes veulent plaire en maillot ! Elles souhaitent aussi être à l’aise avec leur corps, se sentir belles.
Quelles tendances 2014 pour le maillot de bain ?
Ouvrir une franchise dans le maillot de bain, c’est anticiper les tendances. En effet, c’est un accessoire de mode vite désuet, et qui évolue très rapidement. Sans parler de l’évolution des matières et des techniques, le style est indispensable ! Certaines couleurs ont la cote une année puis disparaissent 2 ans plus tard. Sachant que ces dames renouvellent leur tenue environ tous les deux ans, la nouveauté est de mise pour les convaincre. En 2014, il y a les classiques qui perdurent et les passés de mode qui reviennent !
Voici quelques tendances pour ne pas vous tromper dans la présentation de vos collections :
Le bikini ne quitte pas le devant de la scène. Il est toujours le roi des plages.
Le maillot de bain une pièce ou monokini, longtemps resté dans les piscines, fait un retour fracassant sur la plage ! La classe et l’allure de la silhouette qu’il apporte n’échappe pas aux femmes .
Le rétro est toujours de mise avec les culottes montantes à l’effet pin-up immédiat !
Côté couleurs et imprimés, les coloris pastel conservent leur avance, même si les coloris vifs reprennent de la place ! L’imprimé animalier est très en vogue.
L’évolution du marché du maillot de bain
Le marché du maillot de bain apparait en Australie dans les années 1920 avec la marque réputée « speedo ». Mais c’est surtout après la Seconde Guerre Mondiale que les enseignes se développent avec l’américain O’Neill ou le français « Arena ». Depuis lors, la crise ne semble pas impacter ce produit. La concurrence se développe également avec les enseignes de sport plus généralistes comme « Adidas », « Nike », « Décathlon » ou « Pumas Asics ».
Ces grandes marques utilisent les noms connus de la natation pour promouvoir leurs produits. Par exemple, Florent Manaudou représente « Speedo » en France.
A partir des années 2000, de petites marques se lancent avec succès sur le terrain du maillot de bain en visant des produits spécifiques ou des clientèles bien ciblées comme les gays. De plus, les évolutions de la société offrent des temps de loisirs plus nombreux. Ainsi, beaucoup de marques de prêt-à-porter proposent des collections de maillots de bain. En effet, presque 80% des maillots distribués à l’heure actuelle sont destinés à la détente. La distribution se fait aussi bien en boutiques, en franchises, en supermarchés…
Le maillot de bain aux origines
Le maillot de bain, que l’on nommait avant costume de bain, est un habit qui a pour vocation les sports nautiques (natation en tête) ou la détente au bord de mer (ou de lac d’ailleurs !).Une Pièce sportive, une pièce détente aussi ! Aujourd’hui vêtu de son maillot, on bronze, on bouge on lézarde ou on nage !
Mais autrefois ? Les premières traces du maillot de bain remontent à l’Antiquité avec la pratique des bains publics. Pratique condamnée au Moyen Âge ou le maillot disparaît au profit de la chemise jusqu’au XVIIIe siècle. Le XIXe et le début du XXe siècle sont plus chics et pudiques ! On se baigne en costume adapté pour les hommes et les femmes.
Les vrais débuts du maillot que nous connaissons débutent avec la célèbre styliste Coco Chanel qui dénude les bras et les jambes des femmes, en lançant la mode de la peau mate et bronzée. Peu de temps après le slip « Tarzan » révolutionne la baignade des hommes. Ces années sont aussi marquées par un engouement pour la natation, qui entraîne l’évolution des tenues de bain.
Deux autres avancées majeures sont la naissance du Bikini pour les femmes en 1946, qui ne s’impose dans les mentalités qu’à partir des années 1960. Plus tard dans les années 1980, le surf développe la mode du caleçon long chez les hommes.
A l’heure actuelle, les évolutions touchent plus les matières, la complexité ou le style des maillots de bain que les formes proposées.
OndadeMar, South American swimwear company, coming to UTC mall
SARASOTA COUNTY - Add OndadeMar, a South American swimwear company, to the bevy of stores arriving at the $315 million Mall at University Town Center.
The Colombian company says it was founded 13 years ago as a “luxury swimwear brand, and has expanded its product portfolio to satisfy a woman’s complete need for luxury, resort lifestyle products.”
It was acquired in 2006 by Tribeca Partners, described as the “largest and most active private equity fund in Colombia,” on OndadeMar’s website.
The company already has Florida stores in both Miami and Miami Beach.
It has its largest presence in Latin America, including Colombia, Mexico, Panama and Venezuela. OndadeMar also has a store in the Dominican Republic.
Other brands that will debut their first stores in Southwest Florida at the $315 million mall being developed by Michigan-based Taubman Centers and Manatee County’s Benderson Development include Apple, Anthropologie, Crate & Barrel and H&M.
The Colombian company says it was founded 13 years ago as a “luxury swimwear brand, and has expanded its product portfolio to satisfy a woman’s complete need for luxury, resort lifestyle products.”
It was acquired in 2006 by Tribeca Partners, described as the “largest and most active private equity fund in Colombia,” on OndadeMar’s website.
The company already has Florida stores in both Miami and Miami Beach.
It has its largest presence in Latin America, including Colombia, Mexico, Panama and Venezuela. OndadeMar also has a store in the Dominican Republic.
Other brands that will debut their first stores in Southwest Florida at the $315 million mall being developed by Michigan-based Taubman Centers and Manatee County’s Benderson Development include Apple, Anthropologie, Crate & Barrel and H&M.
Cayetana Uranga Talks Bikinis and Living with Cerebral Palsy
Fashionista Cayetana Uranga never let cerebral palsy stand in her way. Today, as the founder of Lolita's Beachwear, she's helping others feel their best on the sands.
Cayetana Uranga wearing one of her designs on South Beach.
Like any other 29-year-old entrepreneur, Cayetana Uranga drives to meetings and develops marketing plans to help build her clientele. But unlike most, the Peru-born founder and designer of Lolita’s Beachwear, a South Florida-based e-commerce site and bikini line, succeeds despite having cerebral palsy. Besides creating her swimwear, Uranga also raises awareness of the disease and funds to combat it.
How did your family react to your diagnosis?
When I was born, the doctors told my parents I wouldn’t be able to walk, talk, or live a normal life. But my parents were against an operation; they wanted me to make my own decisions.
What was your childhood like living with cerebral palsy?
My daily therapy began when I was 3 months old. My parents never treated me differently. I thought it was normal.
Where did your love of great swimwear come from?
We would always go to the beach, and my balance improved walking and playing in the sand. [My siblings and I] had more swimsuits than any other children we knew. We lived in them.
How did you develop the idea for Lolita’s Beachwear?
The idea began in high school. I always had a desire to build something for myself and be my own boss. When I went on vacation to Lima, I would bring back bikinis and sell them to my friends. Then, after I graduated college, I began shaping the company. I have 10 [Lolita’s brand] styles; I pick the prints and colors that are “life” colors, bright colors.
How are your suits different from what’s already available?
I see beautiful girls wearing the wrong type of suits or colors that don’t flatter their bodies—I want to help them. My sister and I created a size chart depending on body type. People should understand [and] be comfortable in their body. My challenge is to spread confidence to all women on the beach. Girls will feel so free in swimsuits that are colorful and that fit their body.
What contribution do you want to make to the CP community?
I want to do a charity event for United Cerebral Palsy of South Florida because not many people know about CP; I want to get the word out about what it is. I’m also starting to give them a portion of my proceeds.
What makes you successful?
I have a lot of courage. I used to be scared to go anywhere alone and of people staring. After I managed to drive, I realized I could do anything.
What advice would you give others with CP?
Don’t ever give up. It’s hard—when I was growing up, I never found anybody who was successful with CP that I could look up to. Today, I want to be successful; I want to be independent. Always.
Cayetana Uranga wearing one of her designs on South Beach.
Like any other 29-year-old entrepreneur, Cayetana Uranga drives to meetings and develops marketing plans to help build her clientele. But unlike most, the Peru-born founder and designer of Lolita’s Beachwear, a South Florida-based e-commerce site and bikini line, succeeds despite having cerebral palsy. Besides creating her swimwear, Uranga also raises awareness of the disease and funds to combat it.
How did your family react to your diagnosis?
When I was born, the doctors told my parents I wouldn’t be able to walk, talk, or live a normal life. But my parents were against an operation; they wanted me to make my own decisions.
What was your childhood like living with cerebral palsy?
My daily therapy began when I was 3 months old. My parents never treated me differently. I thought it was normal.
Where did your love of great swimwear come from?
We would always go to the beach, and my balance improved walking and playing in the sand. [My siblings and I] had more swimsuits than any other children we knew. We lived in them.
How did you develop the idea for Lolita’s Beachwear?
The idea began in high school. I always had a desire to build something for myself and be my own boss. When I went on vacation to Lima, I would bring back bikinis and sell them to my friends. Then, after I graduated college, I began shaping the company. I have 10 [Lolita’s brand] styles; I pick the prints and colors that are “life” colors, bright colors.
How are your suits different from what’s already available?
I see beautiful girls wearing the wrong type of suits or colors that don’t flatter their bodies—I want to help them. My sister and I created a size chart depending on body type. People should understand [and] be comfortable in their body. My challenge is to spread confidence to all women on the beach. Girls will feel so free in swimsuits that are colorful and that fit their body.
What contribution do you want to make to the CP community?
I want to do a charity event for United Cerebral Palsy of South Florida because not many people know about CP; I want to get the word out about what it is. I’m also starting to give them a portion of my proceeds.
What makes you successful?
I have a lot of courage. I used to be scared to go anywhere alone and of people staring. After I managed to drive, I realized I could do anything.
What advice would you give others with CP?
Don’t ever give up. It’s hard—when I was growing up, I never found anybody who was successful with CP that I could look up to. Today, I want to be successful; I want to be independent. Always.
Maroon swimsuit, Violet Lake
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Agent Provocateur white suit
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Swimwear gets wet and wild from pinup to sundown
Snooki Flaunts Baby Bump in Maternity Swimwear
Feline Swimwear
Feline Swimwear was started by Spanish designer Cecilia Guiulfo alongside close friend Alexandra Crawfurd. Guiulfo pays special attention to detail and knows exactly what a woman does (and doesn’t) want to show at the pool or on the beach, resulting in a swimsuit line that every woman desires. No matter what your personality type, Feline Swimwear has something for every type of girl — girly, confident, flirty, hippie, and more.
Barnstable swimwear show July 1
A Summer Swimwear Fashion Show will be held at 7 p.m. on Tuesday, July 1 at the Centerville Museum on Main Street.
CENTERVILLE - A Summer Swimwear Fashion Show will be held at 7 p.m. on Tuesday, July 1 at the Centerville Museum on Main Street. The fashion show is in conjunction with the museum’s “Bloomers to Bikinis” exhibit, on display through Labor Day, which highlights the changing styles of swimwear from 1900 to the present day.
Bedroom I’s Boutique of Osterville and Letarte Swimwear will present the fashion show, featuring this season’s latest styles.
Admission to the Swimwear Fashion Show is $15 per person and will benefit the museum. Seating is limited; call the Centerville Museum at 508-775-0331 for reservations.
CENTERVILLE - A Summer Swimwear Fashion Show will be held at 7 p.m. on Tuesday, July 1 at the Centerville Museum on Main Street. The fashion show is in conjunction with the museum’s “Bloomers to Bikinis” exhibit, on display through Labor Day, which highlights the changing styles of swimwear from 1900 to the present day.
Bedroom I’s Boutique of Osterville and Letarte Swimwear will present the fashion show, featuring this season’s latest styles.
Admission to the Swimwear Fashion Show is $15 per person and will benefit the museum. Seating is limited; call the Centerville Museum at 508-775-0331 for reservations.
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